Nos grands-parents Lesort devaient finalement constituer une assez bonne publicité vivante pour le mariage, puisqu’ils marièrent leurs neuf enfants, dont la plus jeune, Thérèse, dernière à convoler en 1948. Mais contrairement à quatre de ses cinq sœurs, celle-ci ne s’est pas unie « sur présentation » lors d’un « mariage arrangé », selon les formules consacrées : elle a même refusé les offres de ce genre qu’on lui avait ménagées (dont celle d’un certain Eugène dont nous ne parlerons pas), et a par ailleurs dû braver une vraie résistance familiale pour imposer son amoureux PK. Du quartier Saint-Louis au Mexique et du parc de Versailles au Musée Grévin, Pierre et Thérèse ont finalement réussi, comme dans l’Evangile, à fonder leur maison sur le roc et leur couple sur la pierre (qui ne virait pas encore).
Blandine Ayoub, dernière fille de tante Thérése
Pour lire le récit illustré de Blandine cliquer ici
Pour lire le récit illustré de Blandine cliquer ici
![]() |
Le faire-part de mariage |
![]() |
Pierre Kervella entouré des générations suivantes. Cousinade 2009 à Versailles. |
De la part de Jean-Michel Dhavernas :
RépondreSupprimerA propos du mariage de Thérèse Lesort et Pierre Kervella.
Merci, chère Blandine, de ton récit plein de tendresse, d'humour et de vérité. Voici mon essai d'identification - partielle - de la photo concernée p.5 :
- 2° rang, 3° à droite : elle me parait être une Paul-André. Dans ce cas il s'agit de Dominique née en 1939 (Emmanuelle 1945, serait trop jeune).
- 1er rang, 3° à droite : ce doit être une Dhavernas : Françoise (1940) ou Brigitte (1942), Odile étant de 1945.
Qu'en pensent les intéressées ? Je t'embrasse,
Jean-Michel Dhavernas
Good readinng your post
RépondreSupprimer